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Moi, devant l'ordinateur...

Accompagner les auteurs…

Romans, nouvelles, textes longs ou autres témoignages, auto-fictions, fables et contes…
Vous aimez écrire, vos manuscrits intéressent vos amis et vous désirez élargir, maintenant, le cercle de vos lecteurs.
Cependant, avant de vous lancer à la recherche d’un éditeur ou dans l’autoédition, vous souhaitez une aide pour approfondir certains passages délicats, vous voudriez avoir un avis extérieur sur la spécificité de votre style, par exemple, ou sur l’organisation de vos textes, ou encore être guidé dans une réécriture…

Je peux vous accompagner au cours de cette aventure passionnante

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Je vais essayer, sur cette page, de contrer quelques idées reçues et de récuser le terme de correctrice dans lequel je ne me reconnais pas, je préfère celui de lectrice, encore faut-il préciser pour ne pas confondre avec d’autres fonctions du milieu éditorial. Je suis, assurément, la première personne n’étant pas issue de l’entourage familial ou amical d’un auteur à lire son manuscrit ; il importe, avant d’entrer dans le vif du sujet que j’échange  avec lui quelques mails ou coups de téléphone, bref, que je le connaisse, que j’entre quelque peu en empathie avec lui , les premières pages de son oeuvre feront le reste. Sans me départir complètement de ma subjectivité, ce qui équivaudrait presque à m’arracher la peau, j’essaie de me situer en lieu et place de son lecteur lambda dont les réactions, désormais, seront les miennes ; car comme, par exemple, chaque chanteur ou comédien a son public, chaque écrivain a son lectorat et celui de Boris Vian n'est pas de même nature que celui de Julien Gracq. Pour les auteurs qui me font confiance, le lectorat est, très souvent encore, potentiel, il me faut donc affûter ma capacité d’intuition.

Lorsque notre collaboration commence, je note scrupuleusement toutes les réactions de ce lecteur-type dont j’ai endossé le vêtement et je les soumets à qui de droit ; elle, il me répond, accepte, refuse mes propositions, nous discutons et arrivons à un modus vivendi ; par principe, sauf entorse évidente à la grammaire ou quelque chose de ce genre, c’est l’auteur qui a le dernier mot et c’est lui qui, au final, reste responsable de son texte.

L’auteur, lorsqu'il vient vers moi, peut n’avoir écrit qu’une partie de son roman et, se trouvant dans une posture de blocage, ne sait plus comment continuer ; il arrive aussi que l’œuvre n’en soit qu’à l’état de projet… Chaque conjoncture diffère des autres et, dès le départ un contrat et un cadre de travail spécifique  sont convenus entre l’auteur et moi.

Je souhaite que mon action ne s’arrête pas au point final d’un manuscrit mais que, de notre collaboration, l’auteur  conserve certains bénéfices qui rejailliront sur son écriture ; j’ai eu des témoignages en ce sens.

Mes exemples ne constituent pas un échantillonnage exhaustif. Si vous vous posez encore certaines questions et désirez des renseignements complémentaires, n’hésitez pas à me contacter.

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